L'après-midi s'est conclu par une rencontre avec Jean-Guy Allard, ancien directeur de l’information au Journal de Québec et au Journal de Montréal, qui écrit maintenant pour Granma. Il est l'auteur d'un livre intitulé Le dossier Robert Ménard - Pourquoi Reporters sans frontières s'acharne sur Cuba, dont il y a un extrait très éclairant ici. (Sur la photo : Javier Dominguez, directeur de la section de l'Amérique du Nord de l'ICAP, Luce et Jean-Guy Allard.)
Nous avons posé des tonnes de questions et je pense que nous aurions pu continuer à discuter pendant des heures si nous avions eu plus de temps.Sur la photo : (Lisa-Marie, journaliste pigiste, avec son collègue maintenant établi à Cuba.)
De retour au CIJAM, après le souper, nous allons sur le terrain de sport pour répéter notre numéro pour la soirée de demain où les membres de la Brigade internationale du 1er mai vont présenter des danses et des chants de leurs divers pays. Nous ne faisons pas partie de cette brigade, mais nous avons été invités à faire quelque chose aussi. Nous avons donc décidé de présenter une turlute (avis aux lecteurs : comme l'explique Mario Bélanger dans son Petit Guide du parler québécois, turluter chez nous «ne désigne pas du tout la fellation, comme dans le langage populaire français », mais plutôt « fredonner, moduler quelques syllabes sur le bout de la langue»), puis un «set carré» quelque peu simplifié. Nous avons beaucoup ri, parce que peu d'entre nous savent vraiment comment danser ça et c'est assez mêlant... De toute façon, nos spectateurs n'auront aucune idée de ce dont c'est supposé avoir l'air. (suite du récit)















